La Fin

La Fin


Le front russe est désormais stable. L’allemand pousse partout, sans résultat notable. Les combats aériens reprennent et c’est l’occasion de s’apercevoir que les stukas sont bien vulnérables. Les deux exemplaires disponibles partent au garage pour réparation. Je découvre à mon corps défendant qu’il faut absolument aplatir l’aviation soviétique sous peine de contestation pénible des missions importantes.

Finalement, la Luftwaffe n’offre que peu d’appui direct. Si l’on veut maintenir les soviétiques à un niveau correct d’indigence, les appuis au sol deviennent rares.

Autre constat, la faible létalité des combats. A l’échelle du jeu, une unité, sauf complètement encerclée, arrive toujours à s’en sortir. Une fois la ligne russe constituée, une percée en profondeur doit être difficile.




Passons. A son tour, Angel prend l’initiative. Si dans le nord il reste encore passif, profitant du manque de ravitaillement allemand, il organise deux contre-attaques au sud. Le HQ Sud est de nouveau attaqué mais tient, les panzers repoussent les frontoviks. Par contre, à Odessa, c’est la fin pour le panzercorps imprudemment avancé loin de ses lignes.


La encore, c’est une leçon. Contrairement à beaucoup de jeux sur le thème, un pion allemand n’est pas invulnérable en été 1941.


A mon tour suivant, je parviens à prendre Minsk. Généreusement, mon partenaire me propose de s’arrêter là. Nous reprendrons donc cette semaine et cette fois ci, pour la campagne complète, toutes options !

Evidemment, un compte rendu aussi exhaustif et impartial que possible vous sera proposé.


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