Russia Besieged – comment passer 1942 ?

Russia Besieged – comment passer 1942 ?

 

Deux parties écourtées

On va croire que j’aime le front Russe, mais entre deux sessions de Tite, je joue à Russia Besieged, version Compass Games. J’avais déjà pratiqué les versions précédentes et dans un souvenir lointain, le jeu était plutôt pro-allemand.

A la sortie de cette nouvelle édition, un de mes partenaires réguliers ( le fameux PionPion ) via Vassal m’a proposé de s’y remettre. Nous avons convenu d’un aller retour.

Il commence côté allemand et se prend les pieds dans le tapis. Dnepopetrovsk tient jusqu’en mars 1942 et une tentative sur Léningrad rate in-extremis. L’été qui suit ne lui permet pas de percer dans le Caucase et la partie se termine sur une attaque ratée sur Rostov.

Il faut tenir 17 villes majeures sur la carte pour pouvoir empêcher la mort subite et force est de constater que cela est difficile. Avec une météo moyenne et des lancers de dés du même acabit, difficile de passer.

La partie retour suit le même chemin. Instruit par l’expérience de mon valeureux partenaire, je décide de me concentrer sur l’Ukraine et de ne rien tenter sur Léningrad. Kiev tombe vite et j’arrive à prendre Dnepopetrovsk avant l’hiver. Malheureusement, au retour du printemps, le soviétique s’est renforcé et il sacrifie ses forces pour me ralentir. Stalino, Kharkov tombent mais un jet de météo catastrophique empêche la prise de Rostov. Fin de la partie. Notons que j’ai tenté une attaque sur Voronez, qui a échoué à un pas de prendre la ville.


Devant ces deux résultats, la question se pose : peut on percer en Russie et parvenir à jouer la fin de la partie ? Nous sommes preneurs de conseils dans les commentaires.


Vers une victoire allemande ?


En attendant, voici un petit compte rendu de notre troisième partie. J’ai repris les soviétiques. Je fais un déploiement qui permet d’empêcher toute percée en profondeur, au prix de lourdes pertes, considérant que de toute façon, la première ligne est perdue.


A la fin de son tour, l’allemand a peu avancé. Il a failli prendre Odessa. Par contre, il a nettoyé la première ligne russe.


Je me renforce petitement en ce début de guerre et jette une garnison dans Odessa, pour essayer de la tenir un tour de plus. Riga est protégée, ainsi que Kiev. Là encore, je décide de sacrifier du monde pour tenir du terrain. L’idée étant d’empêcher la prise de Dnepopetrovsk avant l’hiver.

A son tour, la Wermacht me nettoye de nouveau, mais sans parvenir à encercler Kiev. Odessa tombe, sur un habile 10 au dé ( quel talent ! ). Il en est de même de Riga ( 9 au dé ). Je me suis laissé aller à quelques commentaires douteux sur des petits félins de sexe féminin…

Nous en sommes là. J’ai profité des renforts pour proposer une ligne forte face à Léningrad. Kiev est laissée à son triste sort et Dnepopetrovsk devrait tenir. Je constate que mes forces sont bien faibles, cela étant du au fort taux d’attrition que j’ai consenti ( et subi à cause de la chance insolente de mon partenaire …)




A suivre : l’hiver 1941

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

The Dark Summer - el relato de un amigo

The Dark Summer - analysis from a friend

DARK SUMMER - L'analyse d'un ami